samedi 26 mars 2011

Grenade







(17/11/2009)

J’arrive à Grenade à l’heure de la sieste. Le soleil refuse toujours de me voir et la ville retient son souffle. Ce n’est pas une ville qui se laisse prendre facilement, et les conquistadores en savent quelque chose. Boabdil, pas la peine de parle, pas la peine de t’expliquer. Trop tard. C’est fini. Je te déteste.

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