Décidément, il ne s'agit pas du meilleur roman de Amin Maalouf. Nous sommes loin de l'atmosphère de Léon l'Africain ou de Samarcande. Ici l'histoire se passe au XXème siècle, entre la Turquie, le Liban et la France. On n'est pas en présence de Al-Hassan Al-Wazzan, ni de Omar Al-Khayyam. Ici, c'est un héros de la Libération qui tient la place du personnage principal.
Ce roman se lit bien, car Amin Maalouf est incontestablement un bon romancier. Néanmoins il est trop chargé pour un petit roman. Le cadre historique contient des évènements aussi importants que le génocide arménien, la résistance en France pendant la guerre, la guerre de 48 en Palestine, la guerre du Liban...
La descente aux enfers du personnage principal est aussi inattendue que surprenante. Elle culmine lors de son internement dans un asile. Un des moments les plus marquants du livre...
Ce roman se lit bien, car Amin Maalouf est incontestablement un bon romancier. Néanmoins il est trop chargé pour un petit roman. Le cadre historique contient des évènements aussi importants que le génocide arménien, la résistance en France pendant la guerre, la guerre de 48 en Palestine, la guerre du Liban...
La descente aux enfers du personnage principal est aussi inattendue que surprenante. Elle culmine lors de son internement dans un asile. Un des moments les plus marquants du livre...
rien que pour la beauté du fait que vous avez cité le grand Nietzsche me donne l'envie de revenir assez souvent pour vous lire
RépondreSupprimerBonne continuation
Mille fois merci pour votre incitation à la lecture
savez vous qu'en moyenne un Tunisien lit un seul livre par an
j'ai peur que ce livre ne soit lui aussi écrit par un Taliban des temps modernes
Merci
Etreinte69, qualifier Amin Maalouf de talibon des temps modernes est ridicule et prouve que vous ne l'avez jamais lu. Le reproche que je pourrais faire à ce romain, c'est qu'il essaye de condenser trop de bons sentiments ce qui le rend mièvre.
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